yoane2a

Un jour de la semaine en fin de soirée je m’tais décidée à me faire une petite ligne de 4mmc (cette poudre blanche ç tendance à vous désinhiber, c’est génial) Aussi, après j’étais terriblement  chaud, et donc après quelque essais infructueux sur Internet je tombe sur deux gars intéressés qui se la jouaient CRS pervers. Je leur file mon numéro puis me ravise et déconnecte

Je décide de me rendre sur l’un des lieux de drague ; je m’habille de circonstance… petit string, bas, Porte-jarretelle, soutien gorge ouvert (car j’ai un peu d’embonpoint qui bien géré me fait une poitrine généreuse)je rajoute mon corset  avec laçage derrière je le sert quasiment à fond(oui ça réduit ma teille et j’adore la sensation)  Par-dessus tout ça une petite robe noir Lycra  Et me au abord d’un terre plain lieus de drague gay habituel.

Je me gare enfile mes escarpin rose et noir à hauts talons et j’attends !

Il y a un peu plus d’une demi heure que j’arpente ce bout de terrain vague en bordure d’Aéroport  sans grand succès le coin est désert et je ne croise que des personne d’un âge bien trop avancé à mon goût, lorsque j’aperçois  un fourgon de C.R.S. qui me fait des appels de phare et m’indique de ne pas bouger. J’obtempère.

Un homme en uniforme descend du fourgon et ce plante à ma hauteur, il me braque une lampe torche dans les yeux et me demande mes papiers, je lui donne permis de conduire, carte d’identité, il les prend sans les regarder, me toise de haut en bas plusieurs fois laisse échapper un sifflement, et me demande de le suivre au fourgon. Là encore je m’exécute, monte à l’intérieur, il fait froid et je ne me fait pas prié. Mais surprise c’est un panier à salade modèle vide à l’arrière et la porte se referme sur moi ; coincé, je ne pense dans un premier temps pas vraiment à mal mais je déchante très vite quand j’entend le C.R.S. dire regarde moi cette petite salope, j’en suis sur fait la Pute, regarde comme elle est fringuée…

Je n’ai même pas le temps de protesté que l’un de mes deux protagoniste me file un coups de point à l’estomac pendant que l’autre me passe les menottes ; en un rien de temps me voilà menotté les main en l’air attaché à une rambarde en aluminium du fourgon.

Alors commence une séance de bastonnade en règle les coups pleuvent Mais pas très fort si bien que je ne m’étonne qu’à moitié lorsqu’ils commence à s’égaré sous ma robe. L’un de mes deux bourreau à sortie une sorte de tonfa et me fait gentiment les cotes pendant que mon ma petite robe glisse sur mes chevilles, et les voilà en extase devant mon string les qualificatif salaces à la fois méprisant et plein d’envie pleuvent. Je suis une pute et je dois avoir un vrai petit cul de femme c’est pour ça que je me travestis  etc…

Le C.R.S. au tonfa est parti farfouillé dans ses affaire il en revient avec une bouteille d’huile d’olive… Il se marre tu va voir tu vas aimer ça et en plus après  tu va te purger …

Il fait couler abondamment de l’huile le long de son engin me montre bien et m’averti que dans un instant je l’aurais dans le cul…

Personnellement le diamètre de l’engin m’inquiète un peu mais je préfère ça au coup et donc je me décide à coopérer. Je commence donc à tortiller du coup doucement et l’effet est immédiat ça les excite il recommence à tenir des propos vulgaire et obscène, ça m’excite je bande…

• «  Regarde moi cette Putain Elle est tout excitée, Tu as vue les seins d’enfer qu’elle à » lance l’un d’eux..

  Joignant le geste à la parole il commence à me travailler les seins, me les pincer, me les lécher (oui là j’avoue je trouve ça agréable malgré la circonstance)

  L’instant d’après j’ai le bout arrondi de sont tonfa qui exerce une pression sur mon anus. Je me prépare à déguster… Il force sans trop se préoccuper de me jérémiades demandant d’y aller en douceur, et comme je bouge son collègue me maintien. Le « big engin » rentre en moi j’ai l’impression qu’il me déchire je gueule ! Ils se marrent.

  Puis sans attendre que le douleur s’estompe mon  tortionnaire applique de long va et vient et prend plaisir à s’enfoncer le plus profond en moi avec le plus de violence possible je sent cogner le sommet de son gode improviser dans mes viscères, j’ai des haut le coeur et ça coule le long de mes jambes je m’imagine que c’est du sang…

  La cadence s’accélère j’ai male et je crie, je supplie qu’il arrête et malgré ça je me sent secouer tout d’un coup de spasme violent ma tête tourne je décharge une giclé de sperme phénoménale dans le devant de mon string qu’ils n’avaient même pas daigné m’enlever et je joui comme jamais je n’ai souvenir d’avoir joui…

  Le CRS devant moi qui me maintenait reçois une partie mon foutre sur son pantalon pour me remercier il me gratifier d’un nouveau coup de poing à l’estomac.

  Quand à l’autre il retire sont tonfa maculer de merde et l’essuie sur mes cuisses.

  Ils ne tardent pas à me détacher, me jettent à bas du fourgon mes fringues suivent et le temps que je rassemble mes idées et essaie de retrouver ma robe le fourgon est déjà loin…

  Je regagne mon véhicule, me rhabille comme je peux ; je trouve mes papier sur le siège passager, je récupère mon téléphone portable dans la boite à gants.

  Je compose le N° du dernier appel :

• « Allo, c’est Eymie »

• Allo Alors ça t’a plue petite pute

• Ouai mais ce n’était pas prévue que vous me cognez

• Heyhey te plaint pas on aurait pu y aller beaucoup plus fort

• Ben quand même

• Ben oui c’est ça mon gars les rencards par Internet on sait jamais sur quoi on tombe. Tu nous croyais peut être même pas quand on t’a dit qu’on était C.R.S.

• En effet j’avais des doutes…

• Bon ça va t’a pris ton pied petite pute ? NON ?

• Ouai sacrément pris mon pied…

• Ok ben n’hésite pas contacte nous si tu veux remettre ça.

• Ça va je vous rappellerais…

• Allez Chao ma salope

Bien serré

 Me Voici en Petite Rove dessous un Corset bien serré et me voilà avec une jolie

poitrine.. Photo 100% réelle